Schizophrénie : Prise en charge

  1. Les antipsychotiques traitements spécifiques ;
  2. En cas de mise en danger de la vie d’autrui ou de l’ordre publique une hospitalisation d’office peut être demandée par tous docteur en médecine sur certificat adresser au procureur de la république (préfet), ou le wali qui prononcera un arrêter d’hospitalisation ;
  3. Une hospitalisation à la demande d’un tires est possible si l’état mental du malade  impose des sois immédiats assortis d’une surveillance constante en milieu hospitalier et rend impossible son consentement à une hospitalisation ;
  4. La poursuite du traitement aves des antipsychotique adaptés, avec une posologie minimale efficace,  permet en générale une sédation des symptômes aigus, et on devra poursuivre le traitemet 6 à 12 mois, parfois plus, plusieurs année même à vie en cas de rechutes,  avec la préférence de la monothérapie ;
  5. Les antipsychotique d’action prolongé sont nécessaire si le patient est réticent de prendre sont traitement ;
  6. Il faut rappeler l’importance du dépistage précoce (surveillance de température, de la tension, et les CPK) et du traitemet du syndrome malin des neuroleptiques.
  7. Au long court, il s’agit plutôt d’une prise en charge globale, médico-psychosociale, la psychiatrie du secteur trouvant la son indication de choix en vue d’une réinsertion.